Le parlement irakien a voté pour élire un nouveau président dans un contexte de concurrence sans précédent entre Kurdes pour le poste.
Le poste de président de la République est symbolique en Irak, mais nécessaire pour former un gouvernement.La session de la Chambre des représentants devrait reprendre plus tard aujourd'hui, après que le président du parlement, Mohamed Halboussi, a annoncé lundi que le vote serait reporté à un quorum.
La constitution irakienne stipule que le président de la République, 15 jours après son investiture, désigne le candidat du plus grand bloc parlementaire pour former le gouvernement. Le Premier ministre nommé dispose de 30 jours pour former son cabinet et le soumettre au Parlement pour approbation.
Les parlementaires ont déclaré que les partis kurdes, le Parti démocratique du Kurdistan (PDK) et l'Union patriotique du Kurdistan (PUK), étaient incapables de surmonter leurs divergences et étaient d'accord sur un candidat.
Les deux partis ont participé dimanche aux élections locales dans la région du Kurdistan et les allégations de fraude ont provoqué des tensions entre les deux parties.
Le poste de président de la République est symbolique en Irak, mais nécessaire pour former un gouvernement.La session de la Chambre des représentants devrait reprendre plus tard aujourd'hui, après que le président du parlement, Mohamed Halboussi, a annoncé lundi que le vote serait reporté à un quorum.
La constitution irakienne stipule que le président de la République, 15 jours après son investiture, désigne le candidat du plus grand bloc parlementaire pour former le gouvernement. Le Premier ministre nommé dispose de 30 jours pour former son cabinet et le soumettre au Parlement pour approbation.
Les parlementaires ont déclaré que les partis kurdes, le Parti démocratique du Kurdistan (PDK) et l'Union patriotique du Kurdistan (PUK), étaient incapables de surmonter leurs divergences et étaient d'accord sur un candidat.
Les deux partis ont participé dimanche aux élections locales dans la région du Kurdistan et les allégations de fraude ont provoqué des tensions entre les deux parties.
Il y a une compréhension politique en Irak depuis l'invasion américaine en 2003, et la chute du régime du président Saddam Hussein, d'assumer le poste de Président de la République, un Kurde, et sert le premier ministre chiite, est due au poste de président du parlement figure sunnite.
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