La France a déclaré mardi (2 octobre 2018) qu'elle ne doutait pas du fait que le ministère iranien des services de renseignements était derrière un complot visant à attaquer une conférence d'un groupe d'opposition en exil près de Paris et qu'il avait confisqué les avoirs appartenant aux services de renseignements iraniens et à deux citoyens iraniens. .
La détérioration des relations avec la France pourrait avoir plus de conséquences pour l'Iran, à un moment où le gouvernement du président Rohani compte sur les capitales européennes pour sauver l'accord nucléaire signé en 2015 entre l'Iran et les puissances mondiales, après le retrait des États-Unis et le rétablissement des sanctions sévères contre la République islamique.
Une source diplomatique française a déclaré: "Nos services de renseignement ont mené une enquête longue, précise et détaillée qui nous a permis de parvenir à une conclusion qui bénéficie sans aucun doute à la responsabilité du ministère iranien du Renseignement". La source, qui a parlé après que le gouvernement a annoncé le gel des avoirs, a déclaré que le vice-ministre et directeur général du Renseignement, Saeed Hachemi, avait été chargé de mener l'attaque et que Assad Asadi, un diplomate basé à Vienne et retenu par les autorités allemandes, s'en était chargé. Le ministère est placé sous le commandement du guide suprême, l'ayatollah Ali Khamenei.
Dans le même temps, Téhéran a appelé à des pourparlers avec Paris pour clarifier un "malentendu" concernant une attaque déjouée contre un groupe d'opposition en exil près de la capitale française en juin. "S'il y a un malentendu sur quelque chose qui n'existe pas, qu'il s'agisse d'un complot d'autrui ou d'une erreur, nous pouvons nous asseoir et en parler", a déclaré à l'AFP Bahram Qasimi, porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères.
Le porte-parole du ministère des Affaires étrangères iranien, Bahram Qasimi, cité par l'Agence de presse islamique iranienne, a déclaré: "Nous démentons à nouveau les accusations portées contre l'Iran et demandons la libération immédiate du diplomate iranien". Il a ajouté que le complot avait été "comploté par ceux qui veulent détruire les liens étroits de l'Iran avec la France et l'Europe".
Le complot visait une réunion du Conseil national de la Résistance iranienne, basée à Paris, dans la banlieue de la capitale française, en présence de Rudy Giuliani, l'avocat du président américain Donald Trump et de plusieurs ministres européens et anciens Arabes.
La décision intervient après l’arrestation par l’Allemagne d’un diplomate iranien accrédité en Autriche, tandis que deux autres ont été arrêtés avec des explosifs en Belgique. Un tribunal du sud de l'Allemagne a décidé lundi que le diplomate pourrait être déporté en Belgique.
La détérioration des relations avec la France pourrait avoir plus de conséquences pour l'Iran, à un moment où le gouvernement du président Rohani compte sur les capitales européennes pour sauver l'accord nucléaire signé en 2015 entre l'Iran et les puissances mondiales, après le retrait des États-Unis et le rétablissement des sanctions sévères contre la République islamique.
Une source diplomatique française a déclaré: "Nos services de renseignement ont mené une enquête longue, précise et détaillée qui nous a permis de parvenir à une conclusion qui bénéficie sans aucun doute à la responsabilité du ministère iranien du Renseignement". La source, qui a parlé après que le gouvernement a annoncé le gel des avoirs, a déclaré que le vice-ministre et directeur général du Renseignement, Saeed Hachemi, avait été chargé de mener l'attaque et que Assad Asadi, un diplomate basé à Vienne et retenu par les autorités allemandes, s'en était chargé. Le ministère est placé sous le commandement du guide suprême, l'ayatollah Ali Khamenei.
Dans le même temps, Téhéran a appelé à des pourparlers avec Paris pour clarifier un "malentendu" concernant une attaque déjouée contre un groupe d'opposition en exil près de la capitale française en juin. "S'il y a un malentendu sur quelque chose qui n'existe pas, qu'il s'agisse d'un complot d'autrui ou d'une erreur, nous pouvons nous asseoir et en parler", a déclaré à l'AFP Bahram Qasimi, porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères.
Le porte-parole du ministère des Affaires étrangères iranien, Bahram Qasimi, cité par l'Agence de presse islamique iranienne, a déclaré: "Nous démentons à nouveau les accusations portées contre l'Iran et demandons la libération immédiate du diplomate iranien". Il a ajouté que le complot avait été "comploté par ceux qui veulent détruire les liens étroits de l'Iran avec la France et l'Europe".
Le complot visait une réunion du Conseil national de la Résistance iranienne, basée à Paris, dans la banlieue de la capitale française, en présence de Rudy Giuliani, l'avocat du président américain Donald Trump et de plusieurs ministres européens et anciens Arabes.
La décision intervient après l’arrestation par l’Allemagne d’un diplomate iranien accrédité en Autriche, tandis que deux autres ont été arrêtés avec des explosifs en Belgique. Un tribunal du sud de l'Allemagne a décidé lundi que le diplomate pourrait être déporté en Belgique.
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