Les autorités françaises ont arrêté six personnes

Les autorités françaises ont arrêté six personnes dans le cadre d'une enquête préliminaire sur un complot présumé visant à attaquer le président français Emmanuel Macaron, selon une source bien informée. Des sources policières ont déclaré que les six étaient des membres de l'extrême droite en France.
L'agence de renseignement française a ordonné des raids dans trois régions différentes après avoir obtenu des informations qui faisaient douter d'un plan "imprécis et lâche" pour mener une "action violente" contre le président, a rapporté une agence de presse française, l'Agence France-Presse, sans le nommer.
Des sources policières ont déclaré que les six étaient des membres de l'extrême droite en France. Ils ont été arrêtés dans trois régions de la France, en Isère, au sud-est de Lyon et en Moselle, à la frontière avec l'Allemagne, au Luxembourg et à Eil-et-Vilan au nord-est, près de Rennes. Salta j a révélé que l'âge des six hommes allait de 22 à 62 ans, y compris une femme, mais aucune déclaration officielle n'a confirmé ou nié l'existence d'un plan visant à attaquer le président français.
Le lien entre les détenus ou la manière dont ils communiquaient entre eux n'était pas immédiatement clair.
Le président français MacRoon était mardi dans la ville française du Verdon pour se préparer aux cérémonies annuelles commémorant la fin de la Première Guerre mondiale. La révélation de ce prétendu complot intervient quelques jours avant le président américain Donald Trump et plusieurs dirigeants mondiaux sont venus en France pour marquer le premier anniversaire du cessez-le-feu du 11 novembre 1918 qui a mis fin à la Première Guerre mondiale.
Dans une interview publiée dimanche, Macaron a mis en garde contre la menace de mouvements d'extrême droite en Europe, affirmant que l'auto-immolation dans les années 1930 ouvrait la porte à la montée de Hitler en Allemagne et de Mussolini en Italie.


En juin, dix personnes liées à l'extrême droite en France ont fait l'objet d'une enquête officielle sur des soupçons de liens avec des réseaux terroristes. Une source proche de l'enquête a déclaré que les dix personnes appartenaient à un groupe militant dont le but déclaré était "de combattre la menace de l'islam" et était soupçonné de préparer des attaques contre les musulmans.
Les raids de juin ont abouti à la confiscation de matériaux pour la fabrication d’explosifs, ainsi que de fusils et de munitions. Il n'était pas clair si l'opération de sécurité était liée aux arrestations de juin.

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