La police française enquête sur un viol de masse d'une jeune fille de 19 ans sur les sites de réseaux sociaux.
Selon certaines informations, quatre hommes ont attaqué la victime près d'une boîte de nuit dans la ville de Toulouse, dans le sud du pays, samedi soir ou dimanche matin.
La police française a déposé des images de l'incident, diffusé sur Snape Chat et Twitter lundi, après que les utilisateurs de réseaux sociaux l'ont signalé.
Les enquêteurs ont identifié l'identité de la femme, qui a confirmé qu'elle avait été attaquée.
Les procureurs ont déclaré qu'il n'y avait aucun doute d'un crime. Mais ils ne se sont pas encore assuré que la victime l'avait poursuivie, mais ils ont insisté sur le fait qu '"une enquête sera menée, qu'il y ait ou non un procès".
La police recherche maintenant au moins quatre agresseurs, âgés de 25 à 30 ans, qui ont été vus dans un parking privé dans le quartier de Palma, une des banlieues est de Toulouse.
Selon les médias qui ont regardé la vidéo sur les sites de réseaux sociaux, la voix de la victime, qui était clairement ivre, pouvait être entendue crier.
D’autres voix, considérées comme des agresseurs, ont clairement indiqué qu’elles étaient impliquées dans des agressions sexuelles.
"Arrêtez de filmer, c'est le viol, c'est le viol, c'est le viol", a-t-il prévenu.
La jeune fille, qui faisait partie de son corps nu, a été arrachée de ses cheveux par les agresseurs, y compris un suspect à plusieurs reprises pour lui avoir demandé de faire l'amour avec elle.
Les images qui circulaient sur les sites Web ont fait un choc parmi les utilisateurs, dont beaucoup ont signalé des cas de cybercriminalité.
Sur Twitter, la police française a remercié les utilisateurs qui n'ont pas traité la section qui présentait des "actes sexuels peu sympathiques".Les procureurs ont déclaré qu'ils enquêtaient également pour trouver la personne qui a filmé la vidéo et l'a affichée sur les médias.
Selon certaines informations, quatre hommes ont attaqué la victime près d'une boîte de nuit dans la ville de Toulouse, dans le sud du pays, samedi soir ou dimanche matin.
La police française a déposé des images de l'incident, diffusé sur Snape Chat et Twitter lundi, après que les utilisateurs de réseaux sociaux l'ont signalé.
Les enquêteurs ont identifié l'identité de la femme, qui a confirmé qu'elle avait été attaquée.
Les procureurs ont déclaré qu'il n'y avait aucun doute d'un crime. Mais ils ne se sont pas encore assuré que la victime l'avait poursuivie, mais ils ont insisté sur le fait qu '"une enquête sera menée, qu'il y ait ou non un procès".
La police recherche maintenant au moins quatre agresseurs, âgés de 25 à 30 ans, qui ont été vus dans un parking privé dans le quartier de Palma, une des banlieues est de Toulouse.
Selon les médias qui ont regardé la vidéo sur les sites de réseaux sociaux, la voix de la victime, qui était clairement ivre, pouvait être entendue crier.
D’autres voix, considérées comme des agresseurs, ont clairement indiqué qu’elles étaient impliquées dans des agressions sexuelles.
"Arrêtez de filmer, c'est le viol, c'est le viol, c'est le viol", a-t-il prévenu.
La jeune fille, qui faisait partie de son corps nu, a été arrachée de ses cheveux par les agresseurs, y compris un suspect à plusieurs reprises pour lui avoir demandé de faire l'amour avec elle.
Les images qui circulaient sur les sites Web ont fait un choc parmi les utilisateurs, dont beaucoup ont signalé des cas de cybercriminalité.
Sur Twitter, la police française a remercié les utilisateurs qui n'ont pas traité la section qui présentait des "actes sexuels peu sympathiques".Les procureurs ont déclaré qu'ils enquêtaient également pour trouver la personne qui a filmé la vidéo et l'a affichée sur les médias.
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